Ce virus fait partie de la grande famille des papillomavirus qui compte les vulgaires verrues plantaires, et les tropismes muqueux qui se traduisent par des lésions sur les parties génitales.
Pour la femme, cela peut se traduire par des lésions sur le col de l’utérus.
En fonction de leur importance, ces lésions peuvent à plus ou moins long terme provoquer un cancer de l’utérus.
Quels sont les examens qui vont permettre de voir cela ?
Le parcours de dépistage est nécessaire en médecine allopathique.
Lorsque des lésions sont situées sur le col de l’utérus, c’est bien souvent lors d’un frottis que l’on peut le découvrir.
Quand les tests de frottis sont faits, et qu’ils révèlent un HPV positif, on va tester certaines souches. Au total, Il existe 180 souches comprenant des tropismes muqueux et cutanés.
Parmi les tropismes muqueux, il en existe 40, dont 14 susceptibles d’avoir un pouvoir cancérigène.
Certaines lésions sont dites à haut risque oncogène, notamment le 16 et le 18.
En fonction de la gravité du HPV, un examen complémentaire est alors demandé par votre médecin sous forme de colposcopie et de biopsie du col.
Le gynécologue va mettre des colorants sur le col pour analyser les lésions et leurs gravités, et ainsi prélever un échantillon si nécessaire.
En fonction des résultats, on pourra attendre la disparition naturelle, ou si il y a une aggravation, programmer une intervention chirurgicale telle que la mini conisation, ou encore la conisation.
La conisation consiste à gratter sous anesthésie une partie du col de l’utérus. Ce qui n’est pas sans risque.
Dans l’attente, quels sont aujourd’hui les traitements allopathiques proposés ?
Bien souvent, on recommande des crèmes ou des gels pour traiter localement. Mais on ne traite pas le terrain de la personne afin de stimuler l’immunité, les récidives sont donc fréquentes !
Ensuite, à part l’attente et les examens de contrôle pour surveiller l’évolution des lésions avant la chirurgie, il n’y a malheureusement rien au niveau de l’hygiène de vie qui est préconisé en médecine allopathique.
A savoir que dans la majorité des cas, les papillomavirus vont disparaitre d’eux même. C’est le système immunitaire qui va les combattre. Et c’est là que ça devient intéressant !
Le HPV est donc une maladie qui peut être éliminée naturellement par notre mécanisme d’élimination.